Se fait préparer pour travailler

J'étais derrière ma propriétaire, tenue à la longe.
Elle m'installa dans la salle de pensage, puis m'attacha de chaque côté du licol à l'aide de 2 longes.
Elle sortit une étrille, une brosse dure, une brosse douce, un cure-peids et une brosse à crins, puis commença à me panser en me parlant doucement.
Je la laissait faire.
Un cheval aime se sentir propre. J'aimais ça et en plus, ça ma réchaffait.
Quand elle eut fini, elle posa mon tapis de selle sur mon dos, puis un équimousse. Elle les remonta sur mon dos, puis posa doucement la selle.
Je somnolait à moitier, mais quand ma propriétaire posa la selle sur mon dos, ça ma réveilla.
Quand elle sangla ma selle, je me gonfla un peu, histoire que la selle ne me serre pas de trop.
Elle me mit mes bandages, pour éviter que je ne blaisse.
Puis, elle me retira le licol, et me mit le mords en bouche. C'était froid, ma je le machouillait pour me faire saliver, et pour avoir un meilleur contact.
Ensuite, elle passa mes oreilles entre la têtière et le frontal, puis attacha le bridon. Elle attacha les rennes et me les passa sur l'encolure. Elle me remis le licol par dessus le bridon et me rattacha des deux côté, puis ma propriétaire alla chercher l'autre cheval.

J'attendai tranquilement dans mon box quand la femme qui était venu chercher Lizalya apparu devant ma stalle. J'était encore en train de me demander par où elle était arrivée qu'elle m'attrapa par le licol, y attacha une longe et sortit en me tirant derrière elle. Elle tourna à gauche et je me retrouva face à face avec Liza.

- Ah, salut!

Je regardai autour de moi et apperçu un régiment de brosses de toutes sortes, cure-pieds, licols et longes. Je dis, à moitié pour moi-même:

- Alors c'est ici, la salle de pensage.

Je tourna docilement derrière ma "conductrice" qui me placa à côté de la jument grise pour commencer à m'étriller. Je ne la quitta pas des yeux jusqu'au moment où elle me mis la selle et m'enfonça le mord dans la bouche.

-Re!
J'attendis la porte des écuries s'ouvrir, puis se fermer. Une jeune cavalière arriva. Elle commenca à parler avec ma propriétaire.
La nouvelle arrivante acheva de préparer Erwan. Puis ma cavalière me pris par les rennes et me fit rentrer en piste, suivie de l'étalon.

Je regardai sortir Liza et j'apperçu une autre femme arriver vers moi et me prendre par les rennes. Elle avait une bombe sur la tête, des bottes qui lui montait justqu'a mi-mollet qui, je mis un certain temps à le remarquer, étaient assorties à ma selle. Elle devait être ma propriétaire. Elle avait aussi une cravache et elle semblait s'y connaître en matière de chevaux. Je me décidai donc à y aller tout doux et sortit derière elle en me demandant ce que nous ferons en piste.